Avec des aquarelles et des dessins à l’encre, l’artiste amateur (1877-1940) tragiquement décédé en 1940 lors du naufrage de Niobé, coulé par les forces allemandes, se caractérise par son travail près du motif, guidé par le souci d’une juste représentation de ce qu’il voit sans artifice. Sans pour autant se détacher de son époque : traits surlignés, compositions taillées par des lignes de fuite fortes, sans assumée une certiane naivete.

L’Hôtel musée Dubocage de Bléville ayant appartenu à Michel Joseph Dubocage, navigateur, corsaire du roi, niché au cœur du quartier Saint-François du Havre, constitue un écrin un brin nostalgique pour revivre le Havre d’antan.