Culture

Le carnet de lecture de Jörn Tews, directeur général de l'Orchestre de chambre de Paris

Auteur : Olivier Olgan
Article publié le 1er février 2024

Créé en 1978, l’Orchestre de chambre de Paris, formation permanente unique dans le paysage musical français, a su créer sa place de référence. Suivre le 1er orchestre français réellement paritaire et le plus jeune de France en moyenne d’âge est passionnant tant artistiquement, en témoignent la variété des concerts à venir, que culturellement, pour la diversité de ses actions citoyennes. Directeur général depuis mars 2023 Jörn Tews a su poursuivre l’impulsion du charismatique directeur musical Lars Vogt, disparu prématurément en septembre 2022, avec une double feuille de route: animer la résilience pour la saison 23-24 et recruter un nouveau directeur artistique. Missions accomplies : Thomas Hengelbrock est nommé depuis le 23 janvier, et l’orchestre multiplie les projets solidaires, les résidences participatives et les initiatives. Perspectives sur une belle aventure humaine et musicale collective.

« Le plus petit orchestre permanent, nourri d’un esprit artisanal »

Pour beaucoup, l’Orchestre de chambre de Paris est une institution trop « hybride », donc à la viabilité incertaine.
Par sa formation, il est entre grand orchestre labelisé « national » avec plus d’une centaine de musiciens salariés (type Orchestre de Paris, le Philharmonique ou le National de Radio France pour ne citer que les phalanges parisiennes !), et les ensembles baroques aux effectifs à géométries variables (entre 15 et 45 musiciens intermittents en fonction du projet de concert).
Par son absence de salle de concert attitré, l’essentiel de sa saison s’effectue au Théâtre des Champs Elysées, mais il est aussi à Salle Cortot, alors que ses bureaux sont à Philharmonie de Paris.
Enfin, un répertoire dépendant de la taille de sa formation « de chambre » dite « Mozart » idéale pour les concertos baroques et la symphonie classique, mais limité pour le « grand » répertoire ‘romantique et moderne’ qui exige souvent des effectifs doublés (de Mahler à Strauss)

Transcender les contraintes, en forces

Si le défi est permanent, son positionnement atypique est assumé. A force d’initiatives aussi bien artistiques que culturelles, l’orchestre a su trouver sa place unique et des missions originales, portées depuis des décennies par de grands directeurs artistiques, dont le pianiste Lars Vogt (1970-2022), disparu prématurément après deux ans en fonction. Pour se rendre compte du niveau artistique atteint par les musiciens, il suffit d’entendre son enregistrement testament des Concertos n°9 et 24 de Mozart (édité par Ondine). Miracle d’équilibre et de profondeur !

Renforcer la résilience

Jörn Tews, Directeur général de l’Orchestre de chambre de Paris Photo Jean-Baptiste Millot

Après cinq années à l’Opéra national de Paris en tant qu’administrateur des formations musicales, rassemblant près de 300 artistes musiciens et choristes permanents, Jörn Tews est arrivé comme Directeur général en mars 2023, avec comme défis de sortir avec la saison 23-24 l’orchestre du trauma pour conforter toutes les dimensions éducatives et culturelles de son action citoyenne et son travail de proximité sur les territoires parisiens et du Grand Paris, et trouver le successeur du directeur artistique.

J’ai réalisé qu’il existait deux types de personnes : celles qui ressentent un besoin physique d’être sur scène et les autres qui veulent travailler dans ce secteur afin de côtoyer les plus grands artistes de leur époque. Je faisais clairement partie de la deuxième catégorie ! Engagement, ambition, sincérité et création de relations sur mesure, ne sont-ce pas là des valeurs communes à l’Orchestre de chambre de Paris ?
Jörn Tews

A la croisée des chemins

Quand nous avons rencontré Jörn Tews mi-décembre, si un profil potentiel se dessinait, cet ‘oiseau rare’ nous expliquait-il, doit être « capable  de s’inscrire à la fois dans un projet musical unique ainsi que dans la mission citoyenne de l’Orchestre et l’insertion professionnelle des jeunes musiciennes et musiciens. »
Si c’est chose faite depuis quelques jours, avec la nomination de Thomas Hengelbrock, magnifique chef à la fois rompu au répertoire baroque que classique qu’engagé dans la transmission notamment dans le cadre d’une académie qu’il a créée à Cuba, les perspectives d’un ensemble à la croisée des chemins sont immenses.

Fait pour s’entendre

Avec la gourmandise de la valeur ajoutée de travailler avec des artistes, celui qui se méfie de la dénomination de « manager culturel » avec ce risque d’opposer artistique vs administratif se félicitait déjà du binôme constructif qu’il formerait avec le futur directeur artistique, n’ayant pas assez de mots bienveillants pour exprimer son admiration autant pour la résilience artistique que l’engagement citoyen des musiciens. Il est même convaincu de vivre actuellement un « nouvel âge » de l’orchestre, quand il voit le sentiment d’appartenance des musiciens « et de l’émerveillement dans leurs yeux ».

S’il est difficile de reprendre toutes les dimensions artistiques de l’ensemble, Jörn Tews est revenu sur celles qui consolident l’identité de cette formation, si proche de ses publics.

Les musiciens de l’Orchestre de chambre de Paris ont ce besoin inné de faire de la musique. C’est un émerveillement. Ce n’est pas un « boulot ». Ils découvrent à chaque concert toute la beauté de cette musique, comme si c’était une création mondiale. C’est notamment palpable dans le cadre des concerts « joué-dirigé », qui font partie de l’ADN de cet orchestre. C’est là où les musiciens peuvent mettre à profit tous leurs talents de chambristes.
Jörn Tews

Cette saison, à titre d’exemple les concerts en « joué-dirigé » avec Antje Weithaas, Christian Tetzlaff, Nicolas Altstaedt et Javier Perianes. Antje et Javier ont par ailleurs aussi participé en tant qu’enseignants à l’Académie du joué-dirigé, organisée tous les deux ans et qui souligne une fois de plus toute l’importance de ce format.

Vous voulez dire à quel moment je suis le plus heureux ? Quand les choses sont en rythme et quand j’arrive à être dans l’instant présent, lors d’une discussion avec quelqu’un par exemple.
Mais la musique est aussi une passerelle extraordinaire pour atteindre cet état !

Je suis également fasciné par les artistes, qui défendent leur art.

« Le côté absolutiste dans leur approche. En tant que manager, nous sommes inévitablement à la recherche de lignes de compromis. Le piment de notre travail en tant que managers culturels vient du fait que nous travaillons avec des artistes, pour qui une solution n’est acceptable que si elle permet de réaliser leur vision dans son intégralité, pas dans l’à-peu-près. »

La transmission chevillée au cœur

« Vivant aussi dans une période de transition profonde, je pense que cela est vrai dans le cadre de notre secteur de la musique classique également. Nous aimons profondément cette culture. Mais pour la préserver, nous devons conduire et embrasser le changement. Plutôt que de résister au changement, nous devons transmettre cette musique avec passion et amour à ceux qui ne s’identifient pas encore avec elle. »

C’est pour cela que je suis très heureux que les projets de transmission prennent une telle importance à l’Orchestre de chambre de Paris. Ce qui m’importe le plus : ne jamais rien céder à la qualité artistique dans le cadre de ces projets. Il faut que le même standard d’excellence artistique s’applique à nos projets d’action culturelle, comme pour tous nos projets.

Le 21 juin 2024, le projet dans le cadre de l’Olympiade culturelle illustre cette volonté. L’Orchestre de chambre de Paris sous la direction de Giacomo Sagripanti et accompagné de grands solistes internationaux tels que Suzana Markova, Cassandre Berthon, Marina Viotti, Michael Spyres et Ludovic Tézier donnera un concert sur le parvis de l’Hôtel de Ville dans le cadre duquel il joue la finale de la 9ième symphonie de Beethoven avec une centaine d’élèves des conservatoires d’arrondissement de Paris.

Favoriser la polyvalence et l’esprit artisanal

Je suis convaincu que nous devons éviter un côté trop académique dans notre propre approche vers la création. Il est important que la création contemporaine soit réellement entendue par le plus grand nombre.

« L’Orchestre de chambre a une mission particulière dans ce domaine, justement parce qu’il n’est pas un orchestre spécialisé dans un certain genre musical. Nous couvrons plus de trois siècles de musique. Nous faisons du symphonique et du lyrique. Nous jouons également de la musique de chambre. Cette agilité et cette flexibilité nous prédestinent à créer des projets transdisciplinaires, qui permettent de toucher de nouveaux publics, qui se sentent encore loin du classique. »

La polyvalence est une qualité que j’apprécie beaucoup chez nos musiciens à l’Orchestre de chambre de Paris aussi. Ils sont des musiciens d’orchestres formidables. Ils font d’excellents concerts de musique de chambre à la Salle Cortot. Et certains parmi eux se produisent également comme solistes dans le cadre de nos concerts.

Cette année par exemple Déborah Nemtanu et Jossalyn Jensen dans la Symphonie concertante K. 364 de Mozart ou Fany Maselli et Florent Pujuila dans le Double Concertino pour clarinette et basson de Richard Strauss.

Un creuset pour la formation et l’insertion professionnelle

« Nous devons encore beaucoup plus nous investir dans la formation et l’insertion professionnelle des jeunes cheffes d’orchestre. Il est très bien de les inviter à diriger nos concerts. Mais il faut faire en sorte que ce soit pour les bons programmes et au bon moment pour elles. Pour cela il faut les préparer et c’est là où nous sommes attendus. Je pense qu’il faut encore réfléchir à des programmes d’insertion professionnelle, qui nous permettent de former spécifiquement les femmes cheffes d’orchestre de demain pour les orchestres de chambre.

Je crois que nous devons avoir le même regard de lucidité sur notre activité à l’Orchestre de chambre. Je suis adepte d’une approche très volontariste, quand il s’agit par exemple de promouvoir des jeunes femmes cheffes d’orchestre ou encore des jeunes compositrices.

C’est pour cela que je suis heureux d’accueillir cette saison pour la première fois Simone Menezes dans le cadre du projet Pelléas,

ou encore Marie Jacquot lors d’un concert au Théâtre des Champs-Elysées.

Nous soutenons également des jeunes compositrices dans le cadre d’une académie, dont nous venons de lancer la deuxième édition.

La base de tout cela reste une analyse lucide des situations telles qu’elles se présentent réellement à nous, en dehors de concepts et de wishful thinking … Et puis nous choisirons les approches, qui permettent de répondre au mieux à ces situations (whatever works), sans se soucier de la question de savoir si ça « fait bien » ou si ça coche une case.

Un « laboratoire » à la croisée des chemins, citoyen et artistique

« Je prépare « le laboratoire » pour que le chef puisse déployer tous ses talents ».  L’arrivée annoncée de Thomas Hengelbrock va apporter, Tews en est convaincu, une dimension complémentaire à la trajectoire de l’OCP ; « Après une série de chefs solistes, l’orchestre a la qualité pour travailler avec un chef qui vient pour réaliser sa vision stratégique »

… et humaine permettons-nous d’ajouter,  cette dimension qui rend l’art et la liberté (de penser et de vivre) plus que jamais nécessaire dans ces temps troubles de conditionnement par écrans ou réseaux interposés.

C’est live dans la salle – et les occasions vont se multiplier (TCE, Cortot, Gaveau, Chatelet, …) que vous apprécierez toutes les dimensions de ce projet collectif, qui est loin d’avoir joué sa dernière note !

Olivier Olgan

Le carnet de lecture de Jörn Tews

Avant de rentrer dans les détails de mon carnet de lecture, je dois commettre un impair en trichant un peu : en réfléchissant à cette liste et sachant que je ne voulais pas me focaliser uniquement sur la musique classique, je n’ai pas réussi à intégrer trois références qui sont pourtant fondamentales pour moi. Je dois donc d’abord souligner le fait que je ne partirais jamais sur la fameuse île déserte sans la musique de Mozart, de Bruckner et Parsifal de Wagner

Cette musique continue à me toucher au jour le jour au plus profond de mon être, au point que c’est presque trop personnel pour en parler.

Beethoven – concerto pour piano no. 4 en sol majeur, op. 58, 2me mouvement – Andante con moto

Ce mouvement m’émeut profondément, parce qu’il montre toute la force fragile mais irréductible de la musique et de l’art. Face à l’orchestre menaçant, grondant, écrasant, le piano arrive avec une tendresse, une mélancholie, une délicatesse infinie. Presque timide, presque en tâtonnant. Tout seul. Mais cette douceur du piano ne s’arrête jamais, même s’il est seul contre le monde entier que représente l’orchestre. Et il finit par s’imposer : le son de l’orchestre s’adoucit, devient plus hésitant, moins sûr de lui-même. A la fin, la petite voix isolée du piano a pris toute la place et ouvre la voie vers la frénésie rythmique du Rondo (Vivace).

Cette force de l’art m’a toujours fasciné. Il peut tout faire et il a le droit de tout faire. On ne sait pas comment. Il n’a pas d’armes, il n’a pas de pouvoir réel. Mais il est capable de nous transformer complètement, individuellement et sur le plan sociétal.

Schubert est peut-être un des meilleurs exemples, qui démontrent cette immense force tranquille.

Je suis très heureux que l’Orchestre de chambre renouera avec la musique de Schubert lors d’un concert le 29 avril 2024 sous la direction de Gabor Takacs, où on jouera sa 5ième symphonie.

Chez certains artistes, on entend à quel point leur mission est vitale. Une question de survie littéralement.

Je pense à l’enregistrement de Dichterliebe par Fritz Wunderlich.

Je pense à Richard Tauber qui chante en 1947 une dernière fois Don Ottavio, alors qu’on lui a déjà enlevé un poumon.

Je pense aussi à l’expression sur le visage de Klaus Tennstedt après avoir dirigé la finale de la 8ième symphonie de Mahler

Theodor Fontane – Der Stechlin

Je crois que l’œuvre de Fontane est relativement peu connu en France, ce qui n’est pas dépourvu d’une certaine ironie, dans la mesure où ses deux parents étaient de descendance huguenote. Compte tenu de ma propre identité double (entre mon pays natal et mon pays d’adoption), je suis sans doute particulièrement sensible à ce type de profil franco-allemand. J’aime par exemple beaucoup l’œuvre de Heinrich Heine.

Der Stechlin est le dernier roman de Fontane. Le personnage principal, Dubslav von Stechlin, est un membre de la noblesse brandebourgeoise, qui s’approche de la fin de sa vie (il meurt à la fin du roman). Il habite dans son manoir au bord du lac, qui porte le même nom que lui-même. Le roman est marqué par une profonde mélancholie conciliante et bienveillante. Il ne se passe pas grand-chose. Fontane lui-même donnait le résumé suivant :  « A la fin, un vieux meurt et deux jeunes se marient – c’est à-peu-près ce qui se passe sur 500 pages. »

Ce qui me touche, c’est le regard sur une période de transition et de transformation (en l’occurrence la société de la fin du 19ième siècle). Le protagoniste fait partie de l’ancien monde, qui disparaîtra fatalement. Il comprend que les choses doivent changer et il prend déjà conscience des changements qu’amènera le 20ième siècle. Mais il est profondément attaché au monde d’où il vient.

Tout cela est résumé dans la phrase : « Il faut aimer l’ancien et vivre dans le nouveau. »

Radiohead – Kid A et Amnesiac

J’aime particulièrement ce groupe, parce qu’il refuse de se laisser catégoriser. Musique Rock, Musique électronique, Musique minimaliste, Musique contemporaine … ? Il y a tout ça dans leur musique. C’est un groupe qui fait ce qu’on appelle communément de la musique actuelle, mais qui trouve ses inspirations, entre autres, chez Messiaen, chez Penderecki, ou encore chez Ligeti. Cela m’inspire beaucoup. Des passerelles, comme celles proposées par Radiohead, peuvent nous aider à atteindre cet objectif.

 

Un autre aspect intéressant par rapport au groupe Radiohead est la polyvalence de ses membres. Ils sont tous multi-instrumentalistes. Ils changent les rôles de chanson en chanson, d’album en album.

Edward Hopper, People in the Sun

Edward Hopper est un artiste qui traduit pour moi un sentiment, qui marque fondamentalement l’existence de l’homme moderne : le fait d’être seul en compagnie. La solitude en société. Selon Alfred Polgar, ce n’est pas forcément une mauvaise chose : les Viennois vont au Kaffeehaus pour exactement cette raison …

Je pense néanmoins que cela exprime aussi quelque chose, qui est profondément lié à l’expérience artistique et surtout l’expérience musicale. Nul ne peut ressentir, ce que je ressens à l’écoute d’une symphonie de Beethoven ou d’une Kantate de Bach. Néanmoins, nous ressentons ce besoin de faire cette expérience ensemble, en société, en communion.

C’est pour cela que nous allons à la salle de concert. Je reste foncièrement convaincu que l’expérience du live est un acte de civilisation fondamental. Dans une société, qui facilite de plus en plus le fait de « rester chez soi » (pour travailler, pour manger, pour se divertir), il est de notre devoir en tant qu’acteurs culturels de lutter pour ces moments de rassemblement autour d’un héritage culturel que nous partageons.

Sans basculer dans le pathos, je crois que c’est le premier devoir citoyen de notre mission.

Lutter pour le fait de rester ensemble et de continuer à se rencontrer. Pas dans l’adversité, mais dans le fait de partager quelque chose. De célébrer quelque chose ensemble, en l’occurrence la musique.

J’ai lu récemment que la visite d’expositions d’art a remplacé en quelque sorte pour beaucoup de personnes le service religieux dans nos sociétés modernes. Je pense que le concert peu faire autant.

Comme chez Hopper, nous restons à la fin seuls, mais en tant qu’êtres humains, nous avons besoin de l’être en compagnie.

Woody Allen – Whatever works

J’adore l’œuvre de Woody Allen de façon générale. Ce que j’aime particulièrement dans ce film, c’est le thème sous-jacent, qui est traduit par le titre. Cela fait raisonner en moi l’envie de faire des choses, qui ont du sens. En dehors des cases à cocher et des concepts préconçus.

Dans le film, tout le monde est malheureux au début, car tous les protagonistes essaient de se conformer à certains concepts de vie et de façonner leurs vies en fonction. A la fin du film, un couple s’est séparé : elle vit avec deux hommes, lui a découvert qu’il est homosexuel. Les autres protagonistes ont également subi des transformations majeures de leurs vies. Mais ils sont tous contents, car ils vivent finalement ce qui leur correspond. Whatever works …

Pour suivre l’Orchestre de chambre de Paris

Agenda sélectif 2024

  • 7 février : Aux quatre coins de l’Europe, Théâtre des Champs-Elysées.
  • 4 mars 2024, 19h30, Bizet, Les Pêcheurs de perles,  Théâtre des Champs-Élysées
  • 20 mars : Variations classiques et romantiques avec Nicolas Altstaedt en joué-dirigé, Théâtre des Champs-Elysées.
  • 11 avril : Strauss concertant avec les solistes de l’orchestre à l’honneur et la jeune cheffe Marie Jacquot, Théâtre des Champs-Elysées.
  • 29 avril : Une danse est un poème à l’occasion de la journée internationale de la danse avec la compositrice Anna Clyne dans DANCE dans le cadre de l’Olympiade culturelle Paris 2024, Théâtre du Châtelet.
  • 21 juin : Grand gala participatif dans le cadre de la Fête de la Musique sur le parvis de l’Hôtel de Ville avec Suzana Markova, Cassandre Berthon, Marina Viotti, Michael Spyres et Ludovic Tézier dirigé par Giacomo Sagripanti dans lequel sera joué la finale de la 9e symphonie de Beethoven avec une 100aine d’élèves des conservatoires d’arrondissement de Paris. + d’infos à venir sur le site.

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