Auteur : Olivier Olgan
Article publié le 6 décembre 2024

Avant sa récente découverte, l’énigme de La Chouette d’or avait tenu en haleine pendant près trois décennies les amateurs de trésor. Comptez sur l’énigme du Naga d’or pour prendre le relais et relever le défi d’une quête à la fois culturelle et philanthropique. Car cette aventure a un petit truc en plus qu’une simple chasse à un bijou fabuleux, celle de participer à une belle cause, récolter des fonds pour financer l’ONG Les Enfants du Mekong, à travers l’achat d’un beau-livre aux éditions Voyages Gallimard (24€) et en écoutant sur une appli dédiée des podcasts de solutions. Devenez des explorateurs humanistes pour Olivier Olgan à relever l’enjeu caritatif  du premier jeu international solidaire!

Un petit truc en plus qu’une chasse au trésor fabuleux

Tous les ingrédients d’une chasse à énigmes sont réunis : une création unique du joaillier Lorenz Bäumer d’une valeur de 50 000€, caché dans un lieu secret qu’il faut découvrir à travers huit énigmes à résoudre. Elle invite aussi à découvrir l’histoire du Cambodge, à faire aimer la civilisation angkorienne et le peuple khmer, d’où le soutien du Musée Guimet.

Le Naga d’or, une chasse au trésor culturel et philanthropique pour Les Enfants du Mekong

Sur les traces d’un véritable aventurier

Avec comme point de départ, une figure d’explorateur oublié et une histoire vraie. 1858. Londres, Henri Mouhot embarque sur le HMS Caledonia, pour explorer les rives du Mékong. Malheureusement, le naturaliste est décédé pendant sa troisième expédition.  Son frère a publié ses carnets à titre posthume. Ils servent de base au livre indispensable sous forme d’un carnet de voyage (éditions Voyages Gallimard) soigneusement illustré d’aquarelles de l’artiste khmer Samuth Mech, professeur de dessin chez Enfants du Mékong

«Avant même le jeu, on plonge dans un récit. C’est un levier extraordinaire. La figure d’Henri Mouhot a bien existé mais aujourd’hui, plus personne ne le connaît. On lui doit pourtant la redécouverte du Siam »
Antoine Besson, rédacteur en chef du magazine de l’ONG, Asie reportage

Une quête pour soutenir Les Enfants du Mékong

L’ONG de développement est spécialisée depuis plus de 65 dans le parrainage scolaire en Asie du Sud-Est depuis 1954. Son fondateur, René Péchard, dentiste à Vientiane (Laos) avant d’être humanitaire n’a cessé de revendiquer un mantra pour lever les bonnes volontés :

«Avant d’aider, il faut apprendre à connaître, à aimer ».

Le Naga d’or, les outils d’une chasse au trésor pour Les Enfants du Mekong

Le Naga d’or, création unique du joaillier Lorenz Bäumer photo OOlgan

Tout joueur devient un explorateur et un donateur

Ses progrès et ses gains sont dans les souvenirs égrenés dans le livre et l’appli dédiée dont la valeur dépend du sens. Fidèle au format de la course au trésor, Le Naga d’or touche par contre une double corde sensible,  le hasard de la surprise et du trophée du propre aux aventuriers, et celle humaniste de participer à une cause plus grande que soi

Du beau livre au don

Si les fondateurs estiment sa durée entre un an et demi et deux ans promet l’ONG, une version du jeu plus courte, le Naga Express, offre aux participants la chance de gagner des lots en validant les 3 premières énigmes..»  Les plus jeunes sont pas en reste avec un Naga Junior de dix énigmes conçu pour les enfants de 6 à 15 ans.

Dès le premier achat (24 € pour le livre ou le double avec appli), les bénéfices vont permettre de financer des projets de l’ONG.

Ainsi de cette école d’intégration à Battambang pour les enfants handicapés qui ne bénéficient pas d’aide, «Car leur pays de tradition bouddhiste impute leur handicap au Karma».

Le Naga d’or, un beau-livre d’énigmes aux éditions Voyages Gallimard

Alors qu’attendez-vous pour participer/soutenir ?

Rien de plus simple. Il suffit de se connecter sur Enfants du Mékong, celui du jeu nagador.com ou d’aller dans la boutique du musée Guimet, première étape pour aller à la découverte des temples d’Angkor, propice au rêve, et à la générosité !

Olivier Olgan